Infini.
J’ai cueilli des secrets,
dans mes songes discrets,
pour écrire des vers,
en petit tas de terre.
J’explore la mine sans fonds
de mon imagination, au plus profond.
Je suis fourmis au travail,
qui passe balai, va que vaille.
Le cul discret d’une bouteille
inspire à de bien belles nouvelles.
S’impose une virgule infidèle
qui s’envole comme une hirondelle.
La racine porte l’esprit,
qui dérange et s’enfuit.
Au milieu de la nuit,
la page se tourne et résiste.
Elle offre, ainsi, le rêve infini.
Loïc ROUSSELOT
J’ai cueilli des secrets,
dans mes songes discrets,
pour écrire des vers,
en petit tas de terre.
J’explore la mine sans fonds
de mon imagination, au plus profond.
Je suis fourmis au travail,
qui passe balai, va que vaille.
Le cul discret d’une bouteille
inspire à de bien belles nouvelles.
S’impose une virgule infidèle
qui s’envole comme une hirondelle.
La racine porte l’esprit,
qui dérange et s’enfuit.
Au milieu de la nuit,
la page se tourne et résiste.
Elle offre, ainsi, le rêve infini.
Loïc ROUSSELOT
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